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Vivre l’American Dream : témoignages d’alumni partis étudier à l’étranger

Pour profiter du soleil 365 jours dans l’année, vivre des hivers tous blancs, changer de culture, découvrir de nouvelles manières de vivre… En 2023, 1,7 million de Français avaient franchi le pas, vivant et travaillant à l’étranger. Parmi eux, Jean-Baptiste Bouhier, Clément Fournier, Pierre Guesdon, Alexandre Jan et João Paulo Gonçalves. Leur point commun (en dehors du fait d’avoir choisi une carrière à l’international) ? Ils sont tous passés par les bancs de l’ETNA.

Pour nous, ils reviennent sur leur parcours : le moment du choix, les différents contrats, les conditions à remplir, les cours de langue, le coût de la vie, les changements culturels… Tout ce qui constitue le quotidien d’un jeune « expat ».

Première étape ? Le soleil californien avec Jean-Baptiste et Clément.

Aux commencements…

Il est 17h en France, 8h du matin à Santa Barbara et à San Francisco, en Californie. Pour nous parler de leur parcours, Jean-Baptiste Bouhier et Clément Fournier se sont levés tôt, la rançon du succès. Si quelques années séparent leur promotion respective, l’un comme l’autre ont su intégrer le marché compétitif et dynamique de la tech états-unienne.

Un rêve devenu réalité pour Jean-Baptiste. « Je voulais devenir ingénieur en informatique, et je voulais le faire dans la Sillicon Valley » nous explique-t-il. Fasciné par les ordinateurs, il se forme en autodicate à l’informatique. Il n’a pas le bac, mais il n’en a pas besoin : il enchaîne les petits boulots en tant que technicien informatique. C’est comme ça qu’il découvre le code, puis l’ETNA. Ce qui le séduit instantanément ? La possibilité de suivre le cursus en alternance, avec un rythme intensif.

« C’était un peu le jackpot pour moi : non seulement je conservais un salaire, mais en plus de cela je découvrais les vrais enjeux des entreprises, avec des vrais projets. »

Nous sommes en 2015, les écoles qui proposent un tel format sont encore peu nombreuses. L’alternance et son rythme, c’est aussi ce qui finit de convaincre Clément.

« J’étais un peu fainéant et, surtout, je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie. Après mon bac STG, j’ai tenté une année de compta… GROS ECHEC ! C’est là que je me suis orienté vers l’informatique avec un BTS réseau informatique. Mais, c’est seulement à mon arrivée au sein de l’ETNA ; après avoir testé de nouvelles choses, que j’ai compris que je voulais me spécialiser dans le développement. »

Direction les Etats-Unis !

C’est une fois leur diplôme en poche que leurs parcours prennent des voies différentes. Pour Jean-Baptiste, le pays de l’oncle Sam est l’étape évidente pour son début de carrière. Alors, il se lance. Sa copine de l’époque – devenue sa femme – s’inscrit à l’université de Santa Barbara ce qui lui permet d’obtenir un visa J1 et, par ricochet, permet à Jean-Baptiste d’obtenir le visa J2 et, ainsi, d’entamer sa carrière en tant que jeune Software Engineer II chez LogMeIn. Il poursuit chez Intuitive, obtient le via H1B, puis le sésame : la fameuse Green Card. 8 ans plus tard, il est aujourd’hui Founding Software Engineer chez Empwr, une entreprise spécialisée dans l’intelligence artificielle.

De son côté, Clément enchaîne. À peine diplômé, il signe un CDI chez Timcod, l’entreprise qui l’a accueillie pendant ses études. Mais il y a un point noir : l’anglais. Il le remarque bien, c’est une compétence indispensable pour réussir. Et s’il a, certes, eu son TOEIC et utilisé son CPF pour suivre des cours d’anglais, il a bien l’intention de devenir bilingue.

Grâce à une société de placement – « j’étais trop âgé pour faire un VIE« , il quitte les bords de la Loire pour la baie de San Francisco. Il y intègre The Spider Inc, société spécialisée dans les solutions numériques avancées. C’était en 2019. Depuis, il a su tisser sa toile au sein de l’entreprise : il occupe désormais le poste de Senior Software Engineer. Et, sur son temps libre, il prépare la suite : Moonwalk Fitness, « une application qui encourage l’activité physique avec des récompenses financières« , dont il est le Founding Engineer.

En parlant de finance, les deux alumni ne coupent pas à la question.

« Dans une bonne entreprise, le salaire de base est d’environ 150 000 $ par an. Ajoutez les stock-options et les bonus, vous pouvez facilement atteindre 250 000 $ annuels » précise Jean-Baptiste.

Mais ne mettez pas la charrue avant les bœufs ! Avant d’y arriver, il vous faudra parfois vous serrer la ceinture, surtout en stage comme le confirme Clément.

Le mot de la fin ?

Allez-y, simplement !

Inspirer les étudiants et jeunes diplômés 

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